Jeux d’éveil à l’environnement : émission UTOPIA consacrée aux jeux et plus particulièrement aux jeux en environnement (avec sitographie et bibliographie)
Invités du jour, deux collaborateurs réguliers des Cahiers de LUDO asbl :
- Françoise Hendrickx: assistante en sciences sociales à l’ULB, chargée de cours de communication et de techniques d’animation en Haute-Ecole, notamment pour le diplôme en sciences et techniques du jeu HEB De Fré & HE P.- H.Spaak, et conseillère en environnement.
- Michel VLG : président de LUDO asbl et coordinateur pédagogique de l’ASP « sciences et techniques du jeu » HEB – He Spaak
Yasmine Boudaka: le thème du jeu est bien dans l’actualité de ce jour de la Saint-Nicolas. Les cadeaux résultent bien souvent de la tradition de la liste découpée dans les catalogues. Le choix y est vaste certes, mais la nouvelle tendance qui émerge est le retour du jeu de société. Beaucoup s’accordent à dire que le jeu est le reflet de notre société ; notion de compétition, de règles à respecter et de hasard….
Alors nos questions seront les suivantes : dans quelle mesure nos enjeux actuels, ce qui nous anime, se retrouve au cœur du processus ludique et quels bénéfices peut-on en retirer pour l’avenir? Quelles idées de cadeaux pourriez-vous nous donner pour les prochaines fêtes…Les jeux de société suivent-ils également les préoccupations actuelles ? Dans un monde où l’industrie du jouet ne connaît pas la crise… Carole Baquet, une de nos collaboratrices, a mis la main sur un jeu ‘Prosperity’. Un jeu pour ceux qui aiment la réflexion et qui propose de gérer le développement d’un pays de 1970 à 2030. L’objectif est d’obtenir la plus forte prospérité tout en gérant l’équilibre des finances, de l’énergie, de l’écologie et de la recherche. Quel impact peut avoir ce type de jeu ? Dans quelles mesures le mécanisme ludique peut influencer nos actes dans la vie réelle ? Est-ce que le jeu peut nous aider à construire le futur, un demain?
Est-ce que toutes les tendances de la société qui est de se préoccuper de d’économie de l’environnement etc. se retrouvent d’une manière ou d’une autre dans l’univers du jeu ?
YB : Est-ce que toutes les tendances de la société (économie, écologie…) se retrouvent dans l’univers ludique ?
MVLG :Oui. Les jeux reflètent la société, contribuent à la pérenniser et, très éventuellement, la font évoluer. Cela se manifeste au niveau des thèmes mais c’est plus efficace au niveau des mécanismes. Idéalement, il faut bien sûr les deux. Le plus souvent, c’est la thématique qui est novatrice alors que les mécanismes restent dans la compétition. Il existe aussi des jeux solidaires, dits « coopératifs » qui renouvellent le relationnel dans le jeu mais, dans ce cas, les thématiques sont rarement liées à des thèmes comme l’environnement. On a trop souvent l’un ou l’autre.
YB : Sur les 850 jeux présentés à Essen, quelle est la part des jeux écologiques ou qui touchent aux enjeux actuels ?
MVLG : Euh, à la grosse louche, je dirais 5 % voire 10 si on prend en compte l’écologie au sens large. Ils sont en augmentation, mais la véritable attitude écoresponsable consistant à louer un jeu plutôt que l’acheter reste hélas en deçà de ces chiffres. Les ludothèques demeurent méconnues.
YB : Est-ce que le jeu est vu de plus en plus comme un outil pédagogique pour faire passer des contenus spécifiques ?
MVLG : Oui. En tout cas progressivement accepté. Son utilité est reconnue depuis longtemps, mais les résistances commencent seulement à être moins grandes.
YB : Et dans le milieu professionnel ? Et pour les adultes ? Ils jouent aussi ? Est-ce qu’il y a des mécanismes ludiques qui sont mis en place pour assimiler ou mieux comprendre certaines phénomènes ?
MVLG : Le fait de pouvoir continuer à jouer une fois adulte nous entraîne à avoir des projets, à développer des stratégies. Le jeu est école de vie tout au cours de l’existence.
De plus en plus d’adultes retrouvent le plaisir de jouer autour d’une table en famille ou entre amis, mais découvrent aussi l’apprentissage qui passe par ce plaisir puisque tout jeu est éducatif par nature. Selon la manière de jouer et le jeu lui-même, cet apprentissage se fait pendant ou, plus souvent, après le jeu. D’où l’importance de l’accompagnement, de la « mise en jeu ». Il faut notamment faire attention que le jeu éducatif n’altère trop la ludicité.
FH : Oui les deux aspects (ludique et éducatif), j’articule souvent les jeux sur les fêtes saisonnières, les temps et les saisons. En effet, les fêtes comme les jeux partagent le besoin d’ordre, de règles, de rituel et la quête d’un désordre, je n’irai pas jusqu’à dire d’un chaos, mais en tout cas d’une liberté de pouvoir réinventer. Pour répondre à votre question précédente de l’impact pour les adultes, je pense à plusieurs jeux que j’utilise dans la formation de conseillers en environnement notamment (autant dans la formation initiale mais aussi dans l’accompagnement de formation continuée). En particulier, je pense à ce jeu plus ancien, un jeu de rôle, « Une place à prendre » qui a été conçu par le Centre d’Information et de Documentation pour Jeunes (CIDJ) qui un très chouette jeu. Il s’agit de prendre des rôles dans une commune pour stimuler l’envie d’exercer un rôle actif dans la gestion de la commune en particulier ici sur la question de l’affectation d’un site historique à des fins de parking commercial. Par exemple des apprenantes qui y ont joué dans un contexte d’alphabétisation en ont déduit après le jeu qu’elles pouvaient elles-mêmes demander des choses au bourgmestre (accès à la piscine communale).
Trouve-t-on les jeux « éducatifs » en grande surface ?
Oui, mais peu de jeux qui s’affichent « éducatifs » restent ludiques. Il vaut mieux prendre conseil en boutiques ou en ludothèques. On peut notamment y trouver certains jeux qui peuvent être abordés sous un angle nouveau et dont la relecture de l’utilisation et de la réflexion à posteriori est très intéressante. Un jeu comme Prosperity aborde une thématique et des mécanismes écologiques mais est aussi assez complexe. Il demande un accompagnement. En une version un peu plus accessible, il y a Ginkgopolis où on crée une cité en symbiose avec la nature. Il existe ainsi des jeux intéressants dans ce contexte. Mais beaucoup doivent être repris après la partie pour se révéler pédagogique et, là, l’accompagnement est important. En soi, le jeu est amoral (ni moral, ni immoral) il vise à nous divertir, mais tout jeu précis nous raconte une histoire qui doit être décryptée. Et cela demande du temps pour être bien fait.
FH : Les opérateurs comme le Réseau Idée, l’asbl Empreintes ou “Culture et Santé » sont vraiment en 1ère ligne pour nous proposer des jeux qui sont à la fois thématiquement centrés sur l’environnement et la santé et qui, en terme de dynamique de jeu, mettent vraiment la collaboration, la réflexion la co-construction au cœur de l’intérêt du jeu. En particulier dans un jeu qui a fait ses preuves « Optimove » (pour bouger de façon optimale) qui tourne depuis plusieurs années et vient d’être réédité en version junior et en version jeunes & adultes. Le gros changement aussi c’est qu’il est bilingue français – néerlandais et présenté dans un packaging compact et donc réellement transportable.
YB : Quel en est le propos ?
FH : L’enjeu est d’arriver à gérer des déplacements dans un plateau de jeu qui représente une mini-ville, en le faisant d’une manière intelligente ; faire les meilleurs choix pour être à la fois efficace, correct au niveau émission CO2 et empreinte carbone et cohérent au niveau santé. Optimove Junior se joue à partir de 8 ans (le principe fonctionne comme memory) et à partir de 13 ans jusqu’à 99 ans pour la version adulte. Le jeu est conçu pour être joué en équipe et en grand groupe, jusque 30. C’est la présence de l’équipe qui rend le jeu pleinement intéressant grâce aux discussions et comparaisons de point de vue, de perceptions, d’idées. A partir de là, on change les habitudes, on change des disponibilités ou des dispositions aux comportements favorables à l’environnement.
YB : Est-ce qu’on remarque vraiment un impact dans la vie de tous les jours ? Quand on joue, on peut incarner quelqu’un d’autre et avoir des attitudes qui ne sont pas forcément le reflet de la personnalité du joueur. Est-ce que dans ce genre de jeu, en incarnant quelqu’un d’autre, on peut après voir son effet dans la vie de tous les jours, des bénéfices, des gestes ? Par exemple aujourd’hui, je vais prendre mon vélo ?
FH : Cela s’observe directement car en général ce genre de jeu sert d’amorce à un projet de changement institutionnel. Par exemple dans une école, quand on loue Optimove et qu’on le propose aux classes, c’est qu’on est prêt à réfléchir à son plan de déplacement ; qu’on est prêt à revoir les manières de venir et de partir de l’école (ramassage groupé, à pied ou à vélo), à interroger la question des transports, de ses logiques de mobilité. C’est une articulation entre le Game et le Play, le moment de plaisir et de découverte et le moment où après, on transfère l’espace d’ouverture qu’a créé le jeu dans son quotidien.
YB : Vous parlez de l’utilisation du jeu dans une classe, donc on parle vraiment d’un outil pédagogique. Ça se manifeste de plus en plus le jeu, pour faire passer des démarches ou sujets spécifiques ?
JB : Mais ces types de jeux sont créés dans un but bien précis pour avoir un rôle «éducatif, d’apprentissage. Est-ce que c’est ce genre de jeux qu’on va retrouver dans les grandes surfaces ? Est-ce que ce genre de démarches va pouvoir se retrouver à côté d’un Monopoly, d’un Risk et autres ?
FH : Prenons un deuxième jeu, issu lui aussi du secteur non-marchand qui est le jeu Alimen’terre. On peut trouver son parallèle dans un tout petit jeu franchement commercial « Sandwich ». Si Alimen’terre c’est créer une assiette équilibrée, Sandwich propose des ingrédients variés pour créer des sandwich originaux. Parti d’un regard coquin et inventif, il peut finalement par sa simplicité et sa légèreté conduire au même propos. Se faire un sandwich avec un peu tout et n’importe quoi comme ingrédient ok, mais est-ce que tout et n’importe quoi fonctionne ? D’un point de vue gustatif, d’un point de vue écologique, d’un point de vue environnemental ? Questionner ses habitudes alimentaires, les discuter avec ses proches et audacieusement tenter des assemblages inédits et plaisants. Et oui, Sandwich est commercialisé en première ligne dans les magasins. Donc, je pense que oui, ce qui est intéressant comme le disait MVLD, c’est le regard qu’on pose sur le jeu ludique de grand magasin.
Ethique et soutenabilité de certaines maison d’éditions : BIO VIVA, AMIGO, SELECTA, HABA… (choix du matériel recyclé, en bois ; provenance européenne / pas chinoise)
YB : La notion de temps est essentielle dans le domaine du jeu
MVLG : Jouer aux jeux de société c’est apprendre à respecter des règles et, donc, à vivre ensemble. C’est une éducation qui s’apprivoise lentement (de 5 à 9 ans) et il est nécessaire d’accompagner cette démarche. C’est pourquoi, offrir un jeu est une promesse de temps partagé, il est essentiel de prendre le temps de jouer avec la personne. Ce plaisir-là est extrême. Aujourd’hui, il y a peut-être une timidité de ce temps partagé. Il faut choisir le jeu adéquat à acheter. Chacun doit trouver le jeu qui lui convient ou qui fait plaisir à son enfant, à son ami. Pour cela, il faut connaître les jeux et donc les jouer, les emprunter en ludothèque, faire des soirées jeux, etc.
YB : Se rendre en ludothèque en famille ou entre amis est déjà une démarche, non ?
MVLG : Une démarche pas encore assez répandue. Pourtant, le réseau des ludothèques se développe assez largement actuellement: avec 150 ludothèques, aucun souci pour trouver des jeux près de chez nous. www.ludobel.be
FH : Oui et heureusement, cette démarche de plus en plus facilitée par l’aménagement de ces espaces et lieux publics car aujourd’hui la tendance est de regrouper bibliothèque, médiathèque et ludothèque sur un même lieu : c’est le cas par exemple à Schaerbeek avec la bibliothèque SESAME, à Ixelles aussi en partie rue Mercelis. La culture vient plus à nous. Jouer, c’est prendre le temps de la rencontre. Et oui, être sociable prend du temps.
YB : L’environnement, le climat, l’écologie et la société sont-ils en rapport avec le jeu ? Il y a des éco-éditeurs de labels durables. Le jeu va-t-il permettre de construire demain un monde meilleur ?
MVLG : Oui, la société de demain ne se fera pas sans les jeux, ils sont à la base de l’éducation. Mais, répétons-le, tout dépendra autant de la mise en jeu que des jeux eux-mêmes !
YB : Quels types de jeux auraient un impact sur la vie quotidienne ?
MVLG : Le thème est important, mais il important d’avoir des mécanismes originaux. Par exemple, avoir un jeu semi-coopératif qu’on jouerait pour gagner seul (dans la ligne de l’individualisme fort présent dans la vie d’aujourd’hui) mais où en même temps si on y joue trop perso, tout le monde perd. Il y a très peu de tels jeux semi-coopératifs sur le marché. Les quelques exemples : Terra, Vertigo, Res publica Romana, Novembre rouge. A l’heure des menaces environnementales et financières, chacun comprend que l’individualisme doit être tempéré sous peine d’être tous perdants, et ainsi les jeux semi-coopératifs commencent à être « dans le vent ».
FH : Dans les thématiques environnementales, pensons aussi au jeu de Culture et Santé de tri de déchets tel que Trilogie, la science du tri !! Un peu dans la perspective développée par Lucie Sauvé (spécialiste québécoise de l’éducation relative à l’environnement) d’un environnement considéré comme un territoire à vivre ensemble, à partager, Trilogie permet de gérer un espace de vie, un quartier en assurant des flux et un tri optimal.
YB : Vertigo et autres précurseurs des thématiques environnementales, etc. est-ce que ces sujets peuvent susciter l’intérêt ? Imaginons que les jeux que vous avez cité soit repris par des éditeurs plus grands, qui les rendent plus attractifs … est-ce que ces jeux peuvent être vendus dans le commerce et se retrouver dans des familles ou bien faut-il malgré tout un accompagnement pour en expliquer la démarche ?
MVLG : Quand le jeu n’est pas d’accès immédiat (longues règles du jeu, nécessité de se documenter ou se préparer avant,…), il aura probablement peu de succès au niveau du grand public. Mais des téléchargements de règles et de commentaires peuvent aider.
FH : Pour viser l’éducation informelle, qui passe par le plaisir et la facilité, ces jeux devront s’alléger, par exemple comme Opti’move. Par contre, « Une place à prendre » n’y est pas encore. Vu nos modes de vie, les jeux se mettent dans des niches de temps. C’est là qu’est la place à prendre. Il y a des thèmes qui vont courir tout le monde, d’autres moins. Traiter de sujets sérieux de façons qui le sont moins, en effet, là est tout l’enjeu pour rester dans le jeu.
MVLG: Oui, à condition de pouvoir avoir un plaisir immédiat et non une morale immédiate. Un créateur de jeu peut rencontrer un éditeur qui amène cette thématique écologique et des mécanismes ludiques mais il faut quelqu’un qui ait joué à plusieurs jeux pour toucher le plus grand nombre.
YB : Cogitez sur ce jeu qui va nous permettre de résoudre les enjeux d’aujourd’hui et de créer le monde de demain et renseignez les parents sur les jeux qui existent et les nouvelles thématiques. On va retrouver ces jeux-là dans les ludothèques ?
MVLG : Dans certaines ludothèques oui, mais pas dans toutes. Il faut aller vers les réseaux, car la diffusion de ces jeux reste un souci. Les particuliers, les familles, les institutions doivent encore faire l’effort d’aller vers ces jeux, vers les réseaux, les ludothèques, etc. Il y a aussi des revues telles que Symbiose qui permettent de découvrir ce genre de jeux.
YB : On espère que dans l’univers du jeu de société on retrouvera plus de jeux qui invitent à réfléchir à ces thématiques de la vie de tous les jours.
Sites et institutions permettant d’aller plus loin
LUDO asbl est une association de promotion culturelle du jeu. Elle est reconnue (1986) puis conventionnée (2009) en éducation permanente par le Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Dans ce cadre, elle fédère depuis 1982 un maximum de ludocentres francophones belges tels les ludothèques (association des ludothèques francophones belges depuis 1982), clubs de jeux, musées du jeu et du jouet et autres associations ludiques non commerciales ainsi que toute personne intéressée par son objet social.
Réseau IDée (information et diffusion en éducation à l’environnement)
266, rue Royale – 1210 Bruxelles
Tel : +32 (0)2 286 95 70 – Fax : +32 (0)2 286 95 79
Mundo N -98, rue Nanon – 5000 Namur
Tel : +32 (0)81 39 06 96 Fax : +32 (0)81 39 06 98
Revue : www.symbiose.be
Emprunter mallettes pédagogiques http://www.reseau-idee.be/outils-pedagogiques/malles/
Malle « biodiversité & jardin »*
Une valise créée en 2013, disponible à Bruxelles et Namur, pour travailler avec les 5-12 ans sur la biodiversité près de chez soi, la nature en ville, l’accueil de la faune et de la flore, et le jardinage
Malles « Education à l’environnement & Travail social »*Deux valises (Eco-consommation/Energie et Eco-citoyenneté/Espaces de vie) disponibles à Bruxelles et à Namur. Elles s’adressent aux travailleurs sociaux désirant utiliser l’environnement comme nouvelle approche pédagogique, et aux animateurs en ErE souhaitant toucher un public populaire (dès 6 ans > adultes).
2 valises, mises à jour en 2010, disponibles à Bruxelles et à Namur. Pour les 5-12 et 12-18 ans. Abordent l’alimentation en lien avec l’environnement, la santé, le Sud, le monde.
2 valises, mises à jour en 2011, disponibles à Bruxelles et à Namur. Pour les 8-12 et 12-18 ans. Abordent les sources d’énergie, l’utilisation rationnelle, les énergie renouvelables, les changements climatiques, leurs causes et conséquences…
3 valises, mises à jour à la rentrée 2012, disponibles à Bruxelles et à Namur. Pour les 3-8, 8-12 et 12-18 ans. Abordent le cycle de l’eau, sa gestion, ses usages, sa préservation…
Une valise disponible à Bruxelles, mise à jour fin 2011. Pour les 8-14 ans. Aborde mobilité et pollutions, sécurité routière, énergie, sport/santé, paysage, aménagement du territoire…
1 valise, disponible à Bruxelles. Pour les 6-12 ans. Pour fabriquer du papier recyclé et aborder les thématiques du papier, des déchets, de la forêt…
www.crie.beCentres régionaux d’éducation à l’environnement
Empreintes
Mundo N
Rue Nanon 98 5000 Namur
Tél : 081 390 660 Fax : 081 390 661
Concepteur de :
OPTIMOVE, jeu coopératif et d’équipe sur la mobilité, réédité en 2013 en version allégée et bilingue fr/nl
OPTIMOVE JUNIOR dès 8 ans : type Mémory, concret, dynamique et ludique
OPTIMOVE pour les plus grands : type stratégie : aborde aussi l’aménagement du territoire, la pollution, la sécurité routière
ALIMEN-TERRE : composer son menu et faire le point sur l’environnement et la santé, son empreinte écologique, chasse au gaspillage http://www.empreintesasbl.be/activites/alimen-terre
CIDJ (Centre d’information et de documentation pour jeunes)
rue Saint Ghislain 29
Bruxelles 1000
Téléphone: 02/219 54 12
Concepteur de:
Une place à prendre : jeu de rôle sur la participation citoyenne gestion aménagement du territoirehttp://www.cidj.be/nos-outils/une-place-a-prendre/
www.douzquinz.be : outil d’information (jeunes et bien dans peau)
Mots d’emploi (2012) : jeu d’insertion professionnelle